Neuropolitique: L’intelligence artificielle est une technologie pro-guerre empêchant la résolution d’accords de paix multilatéraux
Cette article fait suite à notre enquête en cours au sujet des effets et conséquences de l'intelligence artificielle, telle que déploié sur des plateformes propriétaires comme Facebook, X (anciennement Twitter), Instagram et TikTok. Finalement, cette article propose différentes pistes de réflexion concernant la neuropolitique, aussi parfois défini comme le controle ou l'influence des masses.
Il faut toutefois se rappeler que les technologies et applications permettant de pouvoir influencer et exploiter l'humain sont appelés à évoluer continuellement en fonction des progrès scientifiques, incluant en neuroscience, médecine et en psychologie. En d'autres mots, la neuropolitique est l'étude des liens entre la structure du cerveau et les opinions politiques.
Tout d'abord, il faut savoir que l'intelligence artificielle est une invention de l'homme en réponse à sa propre frustration et colère de ne pouvoir comprendre la nature dans son intégralité, et de son désir de controller celle-ci pour ses propres intérêts. À titre d'exemple, la propagande et les fausses nouvelles générés par ordinateurs (intelligence artificielle), peuvent servir à renforcer des préconceptions et la haine contre des groupes d'individus. L'intelligence artificielle est donc un outil de communication politique servant principalement à protéger les intérêts d'un groupe minoritaire d'individus contre celles de la majorité.
En résumé, la propagande et la désinformation sur les réseaux sociaux persistent seulement pour les intérêts exclusifs des riches actionnaires de ces plateformes propriétaires. Par analogie, l'intelligence artificielle est une invention non-scientifique, puisque le but principal de la science par convention est l'avancement des connaissances scientifiques de notre monde, et non la destruction systématique de la vie humaine.
D'autre part, la résolution d'accords multilatéraux devraient se faire uniquement avec un groupe restreint de négociateurs, afin d'éviter toutes formes de conflits d'intérêts, spéculations, ou interférences pouvant entraver les négociations.
Bibliographie
Publié le 26 septembre 2024 dans la catégorie Éthique et neuropolitique par Jack Bortone.